découvrir (v. trans.)
1.déceler l'existence de.
2.faire la découverte de (qqch) ; arriver à connaître (ce qui était jusque là ignoré).
3.enlever ce qui couvre qqch.
4.laisser voir.
5.retirer ce qui protège.
6.révéler une chose tenue secrète
Mon amie et moi avons fait un peu de shopping ce jour-là. La virée a tourné en une après-midi de sexe intense et très excitant. Comme si nous étions dans une autre réalité. Une fois dans la voiture pour rentrer chez nous, nous étions très silencieux. Me remémorant les minutes passées dans le magasin, mon esprit vagabondait entre images de lingerie fine, de sexes rasés et de pratiques exhibitionnistes. Je dois avouer que j’avais été excité par la nouveauté de la situation et ma verge turgescente témoignait de mon état. Mes vêtements la comprimaient et je bougeais sur mon siège afin de trouver une position plus confortable. Mes mouvements sortirent ma femme de sa demie torpeur et je lui fis part à la fois de mon étonnement et de ma joie concernant notre expérience matinale. Je ne lui cachais pas non plus que l’état de mon sexe témoignait de mon appétit à goûter à d’autres fruits défendus. Attentive à cette invitation muette, Elodie me confia qu’elle souhaitait continuer à s’initier à de nouveaux plaisirs, ayant été frustrée pendant de trop longues années de ne pouvoir explorer ses propres phantasmes à cause des limites fixée par une pseudo morale à laquelle elle croyait dur comme fer. Elle me demanda si je m’étais masturbé dans ma jeunesse. Je lui répondis par l’affirmative en rougissant un peu et lui expliquais que ces plaisirs solitaires avaient été pendant bien longtemps ma seule pratique sexuelle avant que je sois déniaisé par une professionnelle pendant mon service militaire. Elle anticipa la question qui me brûlait les lèvres en partageant ses propres expériences masturbatoires d’adolescente et me fis part de son phantasme de se caresser devant autrui. Sans attendre une quelconque approbation, elle souleva légèrement les fesses de son siège et fit glisser sa jupe à ses pieds. Elle glissa une main dans l’écrin de dentelle qui couvrait sans masquer son sexe et commença à se caresser frénétiquement. Ne pouvant pas quitter les yeux de la route, je jetais des coups d’œil de temps en temps pour regarder Elodie se donner du plaisir. Pour être dans une position plus confortable, Elodie avait posé sa jambe droite au dessus de la boîte à gant de telle sorte que son sexe était complément ouvert. Elle n’avait pas ôté son sous-vêtement mais écarté le tissu afin d’avoir un accès libre à sa vulve.
Ses doigts s’activaient maintenant autour de son clitoris après avoir parcouru la fente séparant son Mont de Vénus. Elle avait écarté ses lèvres et introduit sans aucune pudeur, un puis deux doigts dans l’orifice que mon sexe avait l’habitude d’emprunter. Tout en se caressant son bouton d’amour, elle entrepris un mouvement de va-et-vient. Ses dix doigts semblaient jouer une partition apprise il y a longtemps et retrouvait graduellement leurs automatismes. Les yeux mi clos, elle faisait abstraction de son environnement et se concentrait sur l’orgasme à venir. Une brusque accélération de sa respiration et quelques stigmates de tension sur son visage trahirent le moment où Elodie jouit intensément. Lorsqu’elle enleva ses doigts de son vagin, un filet de secrétions vaginales reliait encore son index et sa vulve. Une fois apaisée, elle me demanda quel phantasme j’avais la concernant et lui avouait que je gardais des souvenirs émus des deux ou trois fellations maladroites qu’elle m’avait prodiguées au début de notre mariage. C’est une pratique que nous avions abandonnée depuis longtemps. Sans plus de préambules, elle s’agenouilla sur son siège, son fessier rebondi collé contre sa vitre étant susceptible d’offrir un spectacle apprécié par les conducteurs des véhicules nombreux à cette heure, et entreprit d’ouvrir ma braguette pour atteindre mon sexe. Ce dernier jaillit une fois qu’elle eu réussit à baisser suffisamment la ceinture de mon boxer mais il restait collé contre mon ventre. Faisant fi de ce relatif inconfort, elle déposa un baiser sur mon gland et le lapa avec sa langue, un peu comme on commence une glace pour en apprécier le parfum. Avisant une aire de repos, je m’engageais immédiatement sur la bretelle d’accès et rangeait ma voiture sur une place relativement abritée des regards indiscrets. Après avoir reconnu chaque centimètre carré de ma verge avec sa langue, elle la happa, ses lèvres oeuvrant comme un fourreau souple et chaud. Je m’étais mis à l’aise en baissant pantalon et caleçon et me caressait les bourses pendant qu’Elodie me faisait littéralement l’amour avec sa bouche. Prévoyant mon éjaculation proche, j’éloignais le visage d’Elodie de mon sexe et l’encourageais à me branler. Des jets de foutre jaillirent alors et souillèrent le chemisier de ma femme de tâches dont l’odeur caractéristique du sperme commençait à envahir l’habitacle. Nous nous embrassâmes passionnément en nous déclarant notre amour réciproque.
Elodie jeta son chemisier sali sur la banquette pour ne garder que sa veste dont le décolleté laissait largement voir le galbe de sa poitrine et deviner la dentelle de sa lingerie pendant que je me rhabillais. Nous continuâmes la route sans autre pause pour retrouver nos enfants. Un peu moins de 24 heures étaient passées depuis avoir quitté Limoges. Nous avions cependant retrouvé une seconde jeunesse et comptions bien en profiter dans un avenir proche.
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